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Quand le DAL du Gard fait son beurre sur un drame !

Le 15 septembre dernier, un incendie ; probablement d’origine volontaire, au 60 rue Richelieu à Nîmes, a malheureusement causé le décès d’une personne dans l’appartement d’où est parti le sinistre.


Dès l’information connue Habitat du Gard a mis en place une cellule de crise.


« Nous étions seuls un vendredi soir de feria pour venir en aide aux habitants et trouver dans l’urgence des solutions de relogement pour chacun d’entre eux.


Nos équipes ont été jusqu’à accompagner les familles qui en avaient besoin dans les hôtels avec leurs véhicules personnels, ou parfois à leur faire quelques courses pour les aider à passer le week-end, et même à avancer les frais d’hôtel sur leurs deniers propres. » rappelle Stéphane CABRIÉ, Directeur général d’Habitat du Gard.


Habitat du Gard a sécurisé dès le lendemain matin la zone du bâtiment touchée par l’incendie, et a fait passer le lundi matin, à la première heure, un expert qui a pu vérifier la structure du bâtiment et a autorisé les locataires à rentrer chez eux et retrouver ainsi leurs affaires.


Habitat du Gard a ensuite :

- Relogé en urgence la famille du logement situé sous celui d’où est parti l’incendie et qui n’était pas habitable.

- Fait intervenir à plusieurs reprises une entreprise de nettoyage dans les logements des locataires et dans les parties communes.

- Accompagné les locataires dans leurs démarches vis-à-vis de leur assurance.

- Rétabli l’électricité dans les parties communes

- Commandé auprès des menuisiers les portes des gaines techniques qui doivent être remplacées dès qu’elles seront disponibles.


Malgré tout cela, et alors que si un tel sinistre était survenu dans un immeuble privé, tous les habitants auraient dû se débrouiller tout seul avec leur assurance, nous sommes mis en accusation par des vidéos sur les réseaux sociaux par le DAL et par un locataire contre lequel nous avons porté plainte car il a menacé nos salariés.


Ce locataire affirme plusieurs choses fausses :

- D’avoir été hébergé une seule nuit et qu’on lui ait demandé de revenir y habiter le lendemain.

FAUX : les habitants n’ont été autorisé à rentrer chez eux que 3 jours après le sinistre. Habitat du Gard a pris en charge pendant 4 jours les frais d’hébergement des locataires qui ont en exprimé ce besoin. Habitat du Gard a également pris en charge des frais de gardiennage pendant l’absence des habitants pour éviter le cambriolage de leur appartement.


- De ne pas avoir l’électricité. FAUX : Il n’a pas daigné honorer ses 2 rendez-vous avec l’électricien venu procéder aux réparations de ses prises défectueuses.


- D’avoir remis en état son logement sans aide. FAUX : Le logement a été nettoyé par l’entreprise POLYGON mandatée par Habitat du Gard.


- Il demande à bénéficier d’un nouveau logement... Mais il n’a même pas daigné déposer un dossier de demande de logement…


- Le remplacement de sa fenêtre est du ressort de son assurance. Ce locataire n’ayant pas transmis d’attestation d’assurance, alors que c’est obligatoire (cela constitue un motif suffisant pour mettre fin au bail), Habitat du Gard a souscrit à son profil une assurance couvrant sa responsabilité civile.


- Il a menacé de mort le salarié d’Habitat du Gard qui accompagne les locataires dans leurs réclamations en lui interdisant de se rendre sur la résidence.


- Il a menacé de mettre le feu à la résidence. Habitat du Gard a bien évidemment porté plainte contre lui.


- Il utilise les garages de manière frauduleuse (sans bail, ni autorisation) pour y entreposer divers matériels.


- Il semblerait qu’il menace régulièrement un autre locataire.


Aujourd’hui, alors que nous sommes toujours dans le temps des assurances et de l’enquête (ce qui empêche la remise en état complète de la résidence), nous sommes stupéfaits que le DAL diffuse sur internet les mensonges de cette personne et nous mette en accusation devant la presse, sans même prendre le temps de nous contacter pour avoir des informations auprès de nos services.


Nos salariés, qui se sont mobilisés, ont accompagné chacune des familles, ont cherché avec elles des solutions, sont écœurés par de tels agissements.


Il est tellement facile de venir 3 semaines après le sinistre crier, faire le buzz, déformer la réalité*, se poser en justicier pour faire son beurre sur le dos d’un service public et de ses salariés.







*le DAL du Gard est coutumier du fait puisqu’il avait osé accuser sur les réseaux sociaux Habitat du Gard d’avoir provoqué la mort d’une locataire en la relogeant dans le cadre de la rénovation urbaine de Bagnols-sur-Cèze, alors que la personne était… bien vivante !




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